

Efficacité : Pouvoir oxydant fort, 52% plus efficace que le chlore, diffusion homogène
Économies :
- Suppression du temps d’application et de rinçage du désinfectant = entre 30K/Euro et 100 K/Euro d’économie par an
- Économie du produit de désinfection = entre 2K/Euro et 10K/Euro d’économie par an
- Économie du coût de l’eau = entre 5K/Euro et 15K/Euro d’économie par an
Écologie : Pas de rémanence chimique, sans impact environnemental
Double action sur l’air et les surfaces.
Diffusion efficace et homogène qui permet de traiter des zones difficiles d’accès (exemples : convoyeur, maille intralox, tunnel (ou gyro) de surgélation, hachoir, trancheuse, poussoir, etc.)
OUI : L’Union Européenne reconnaît l’ozone en tant que biocide : Conforme à la législation EU BiocidalProductsRegulation N° 528/2012 en vigueur.
NON : Les équipements présents en industrie agroalimentaire sont conçus pour résister aux agressions chimiques. Contrairement à la chimie classique, l’ozone est utilisé à de faibles concentrations (en ppm alors que la chimie est en %).
De plus, sa dégradation naturelle en dioxygène assure une non-rémanence et évite d’agresser les équipements dans le temps.
NB : Certains éléments tels que le caoutchouc naturel se dégradent rapidement au contact d’un oxydant.
NON : La désinfection des surfaces fait toujours suite à une étape de nettoyage en amont afin que les molécules d’ozone (O3) soient en contact direct avec les surfaces et non avec les matières ou salissures.
NON : Grâce à notre solution vous n’avez plus de consommation d’eau de rinçage. Contrairement à la chimie classique, l’ozone se dégrade naturellement en dioxygène et n’entraîne pas de rémanence.
Aucun, le désinfectant est fabriqué directement dans nos machines avec de l’air et de l’électricité.
NON : Les besoins en énergies de nos procédés sont faibles :
Air : de 1 à 7 m3/h
Électricité : de 0,3 à 4,4 kWh
Il ne faut pas confondre l’ozone stratosphérique, plus communément appelé « la couche d’ozone » qui protège la Terre des rayonnements ultraviolets du soleil, et l’ozone que l’on peut respirer à notre altitude. Cet ozone des basses couches de l’atmosphère est un polluant dit « secondaire », car il n’est pas directement rejeté par une activité, mais est une conséquence des rejets de l’activité de transport et industrielle humaine. C’est une réaction chimique, sous l’effet des rayons du soleil, impliquant des polluants présents dans l’air, comme les oxydes d’azote, émis principalement par le trafic routier, et les composés organiques volatils (hydrocarbures, solvants…), rejetés par l’industrie. L’ozone est donc généré comme une sorte d’auto-défense de la planète qui tente de neutraliser les polluants. Un niveau d’hydrocarbures élevé combiné à un fort rayonnement du soleil et une absence de vent peut conduire à des concentrations en ozone plus élevées. L’ozone a ainsi mauvaise réputation, même si ce sont les hydrocarbures qui posent un problème.
L’ozone est un puissant oxydant qui peut provoquer des lésions irritantes des muqueuses respiratoires ainsi que des muqueuses oculaires à plus forte concentration (cf. Fiche Toxicologique n°43 de l’INRS). Pour supprimer ce risque, nous recommandons une utilisation hors présence de personnel dans l’usine et accompagnons nos clients dans la formation et la mise en place d’une procédure adaptée pour une désinfection en toute sécurité.)
La sécurité concernant l’utilisation de l’ozone est un enjeu majeur et une préoccupation de tous les instants au sein de la société ALPHATECH.
À ce sujet, nous suivons le cadre législatif donné par l’INRS avec la fiche toxicologique N°43 qui indique une Valeur Moyenne d’Exposition (VME) de 0.1 ppm (soit 0.2Mg O3/m3) sur 8 heures d’exposition ou 0.2ppm (soit 0.4Mg O3/m3) sur 15 minutes d’exposition.
Pour cela, nous avons mis en œuvre un ensemble de moyens et matériels afin de garantir la sécurité de vos collaborateurs :
Sondes de mesure de concentration d’ozone avec enregistrement et traçabilité
Détecteurs d’ozone: outil terrain par excellence qui alerte en cas de dépassement de la VME. Il permet à la personne en charge du contrôle, de libérer la zone après la phase de descente en concentration de l’ozone (dégradation de l’ozone (O3) en dioxygène (O2)
Masques à cartouches adaptés
Affiches de signalisation et d’interdiction d’entrer dans la zone
Avertisseurs sonores et lumineux dans les zones traitées et/ou périphériques
Contrôle de débit et pression de gaz
Arrêt d’urgence
Logiciel de supervision
Manuel et formation à l’utilisation du personnel utilisateur et à sa mise en sécurité
Vidéo tutoriel
OUI : Nous travaillons sur des germes pathogènes ou d’altérations comme la Listeria, les Salmonelles, l’Escherichia coli, le Cronobacter, les Levures et les Moisissures.
OUI : Cependant, sa volatilité est très bonne lorsque le gaz est véhiculé par des centrales de traitement d’air ou des évaporateurs.
Des sondes de mesure et d’enregistrement permettent de contrôler la bonne répartition de l’ozone dans les volumes à désinfecter.
Nos installations permettent de réaliser des économies importantes.
Pour déterminer le budget, nous avons besoin des informations suivantes :
Le temps disponible pour la désinfection
Le nombre de volumes et leurs dimensions
OUI : L'utilisation de l'ozone permet de générer des économies importantes liées à  :
La suppression du temps d'application du désinfectant et de rinçage
La suppression des consommables chimiques de désinfection
La suppression de la consommation d’eau de rinçage après la désinfection
OUI : L’ozone n’a pas de rémanence chimique, il est sans impact environnemental dans le temps. Son utilisation permet de supprimer l’utilisation d’eau de rinçage après la désinfection.
L’ozone se dégrade en dioxygène très rapidement (sa concentration est divisée par 2 tous le ¼ d’heure).
NB : La température, la matière organique présente sur les surfaces et les débits de fuite influencent la durée de cette dégradation.
OUI : L’hygiène étant un enjeu majeur pour nos clients, nous avons une équipe formée et du matériel dédié pour intervenir en urgence sur votre site.
